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Que font les gens au Mali pour se divertir ?

Marcelle Guillot
Marcelle Guillot
2025-06-16 16:57:42
Nombre de réponses : 13
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Pour se divertir, les élèves au Mali partent en colonie de vacance, profitent des vacances organisées par certaines entreprises et/ou institutions ou font des sorties pendant les weekends dans les lieux publics de la capitale malienne. Les espaces verts de Bamako sont nombreux et offrent des activités pour tous les goûts. Le Jardin du cinquantenaire situé au pied de la colline du pouvoir offre une belle vue sur Bamako. Le Parc national est un endroit très attrayant avec ses végétations et ses espaces de loisirs pour les enfants, tels les balançoires et les espaces de jeu. Le parc zoologique de Bamako est un lieu incontournable pour voir des animaux. Bamako s’est dotée de beaucoup de terrains synthétiques pour promouvoir le sport de masse et encourager les jeunes à la pratique du sport. Les enfants peuvent également profiter des délicieux plats dans une ambiance festive.
Roger Guillou
Roger Guillou
2025-06-16 16:26:44
Nombre de réponses : 23
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Les gens au Mali se divertissent en assistant au Festival Les Praticables. Dans les cours, aux intersections des rues, sur les places publiques, le kotéba du IIIe millénaire est de retour. Le kotéba est une forme de théâtre traditionnel bambara jouée par les jeunes après la saison des récoltes. Le kotéba des Praticables fait entendre sa voix bien au-delà des représentations. Dans le public, des femmes, des jeunes, des enfants sont présents. Le Festival Les Praticables est un événement de dix jours de fête, de communion, de partage de savoirs.
Paulette Fischer
Paulette Fischer
2025-06-16 15:52:30
Nombre de réponses : 15
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Qu’on les retrouve au « grin » à refaire le monde ou entassés dans les stades pour acclamer leurs dieux du rap, les arrière-petits-enfants de Modibo Keïta veulent avant tout vivre et s’amuser. De « l’enjaillement à l’état pur », comme au lendemain des indépendances, lorsqu’on célébrait la liberté et l’ébauche d’une nation nouvelle. Aujourd’hui, alors qu’ils ont recouvré la liberté, ces mêmes jeunes veulent pouvoir en jouir. Qu’on les retrouve au « grin » à refaire le monde ou entassés dans les stades pour acclamer leurs dieux du rap.