Que font les Maliens pour s'amuser ?

Jérôme Aubry
2025-06-22 00:31:08
Nombre de réponses
: 19
Qu’on les retrouve au « grin » à refaire le monde ou entassés dans les stades pour acclamer leurs dieux du rap, les arrière-petits-enfants de Modibo Keïta veulent avant tout vivre et s’amuser. De « l’enjaillement à l’état pur », comme au lendemain des indépendances, lorsqu’on célébrait la liberté et l’ébauche d’une nation nouvelle.
Les jeunes Maliens rêvent de rouler dans de belles voitures, ce qu’ils désirent avant tout c’est de pouvoir le faire ici, au Mali, sans être obligés d’aller risquer leur vie sur des bateaux de fortune.
Aujourd’hui, alors qu’ils ont recouvré la liberté, ces mêmes jeunes veulent pouvoir en jouir.
Le système D, l’entraide font encore des miracles.
Aux banques, aux chefs d’entreprise d’accompagner ou de canaliser cette énergie-là pour le plus grand bénéfice d’un pays qui regorge de richesses et d’idées.
Ces jeunes ne sont pas plus violents que ceux des générations précédentes.

Juliette Hoarau
2025-06-21 22:29:23
Nombre de réponses
: 12
Les Maliens pratiquent la peinture sur tissu de boue.
Le bogolanfini, ou tissu de boue, est un art textile séculaire originaire du Mali, où le tissu est teint à l'aide de boue fermentée et de pigments naturels.
Vous commencerez par dessiner des symboles traditionnels, chacun ayant sa propre signification.
Certains représentent la bravoure, d'autres la sagesse.
La boue, rencontre le tissu, vous appliquerez des teintures naturelles à base de boue sur votre tissu et observerez les tons terreux donner vie à votre motif.
Vous rirez beaucoup en réalisant que la précision est surfaite et que la boue a ses propres caprices.
Créer des liens d'équipe grâce à l'art – Rien de tel qu’un peu de chaos créatif pour rassembler un groupe.
Un souvenir unique – Vous n’achetez pas simplement quelque chose sur une étagère, vous créez une pièce unique de la culture malienne.
Rire garanti – Entre éclaboussures accidentelles et expériences artistiques qui ont mal tourné, vous aurez plein d'histoires à raconter.

Isabelle Remy
2025-06-21 21:55:37
Nombre de réponses
: 10
Qu’on les retrouve au « grin » à refaire le monde ou entassés dans les stades pour acclamer leurs dieux du rap, les arrière-petits-enfants de Modibo Keïta veulent avant tout vivre et s’amuser.
De « l’enjaillement à l’état pur », comme au lendemain des indépendances, lorsqu’on célébrait la liberté et l’ébauche d’une nation nouvelle.
Ces jeunes ne sont pas plus violents que ceux des générations précédentes.
Qu’on les retrouve au « grin » à refaire le monde ou entassés dans les stades pour acclamer leurs dieux du rap.