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Quelle est la culture qui a donné au Mali une renommée internationale ?

Emmanuelle Brun
Emmanuelle Brun
2025-06-22 20:39:49
Nombre de réponses : 7
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La culture qui a donné au Mali une renommée internationale est la culture soninké. Les soninkés ont une renommée internationale pour la migration et l’exode. Les soninkés font culturellement partie du groupe mandé de par leur langue, le soninké, mais forment un groupe ethnique à part entière. Ils ont créé le royaume du Galam au Sénégal, sur la vallée du fleuve Sénégal, ancien royaume qui se trouvait au sud du Fouta-Toro et à l'est du royaume du Djolof. Les soninkés sont généralement musulmans sunnites. La tradition orale des Sarakolés fait remonter la fondation de l’empire à Dinga, ancêtre légendaire des Soninkés. Ils possèdent un grand nombre de mythes et de légendes expliquant leurs origines et les grands moments de leur histoire. Ces mythes révèlent déjà un destin de peuple dispersé, tenu de partir au loin en quête de sa survie.
Théophile Letellier
Théophile Letellier
2025-06-22 20:37:09
Nombre de réponses : 9
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La petite Jamaïque africaine gagne une renommée internationale. Viennent se former à la culture rastafari des artistes célèbres comme l’Ivoirien Tiken Jah Fakoly et le Guinéen Takana Zion. La culture rastafari a donné au Mali une renommée internationale à travers le village de Lassa. Le village de Lassa est mondialement réputé pour sa communauté rasta installée depuis plus de vingt ans. Le Mouvement des rastas du Mali a eu une grande force. Même Cedella Marley Booker, la mère du légendaire Bob Marley, viendra y faire un tour en 1996. C’était les moments les plus extraordinaires. C’était un ministre de Bob Marley qui était là avec la maman de Bob Marley, qui ont tout vu, jusqu’à ce qu’elle dise “ce que vous avez fait, c’est plus que ce que Bob Marley a fait.” Lassa était censé être un sanctuaire rastafari. La vie à Lassa est difficile, avoir de l’eau et de l’électricité est toujours un problème. Nous sommes là au nom du Jah rastafari. Lassa était un lieu où les rastas maliens décident d’y créer une communauté. Je suis venu dans cette brousse et tout de suite je me suis dit “ah, quel paradis sur Terre !”. Ça s’est développé. Beaucoup de nos frères étaient là, de nos compatriotes au pays qui venaient, des frères de la France, des métisses... Le groupement était vraiment merveilleux.