Les conditions naturelles sont plus variées qu'en d'autres régions soudaniennes car la vallée, ses rives et son organisation hydrologique très compliquée introduisent maintes variantes dans les conditions naturelles zonales. On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï. Il est évident qu'il n'y aurait pas de Bambara si les membres de ce groupe ne se considéraient pas comme Bambara.
Ces diverses raisons expliquent l'étonnante diversité ethnique des populations que la vallée du Niger a attirées et retenues. La notion de groupe ethnique a remplacé celle de « race », dont on a critiqué le sens anthropologique et biologique, mais elle est beaucoup plus complexe.
Richard- Molard enregistre cette difficulté lorsqu'il conclut : « Toute la réalité repose sur l'idée que les indigènes se font d'eux-mêmes. »
Les conditions naturelles sont plus variées qu'en d'autres régions soudaniennes car la vallée, ses rives et son organisation hydrologique très compliquée introduisent maintes variantes dans les conditions naturelles zonales.
Ces diverses raisons expliquent l'étonnante diversité ethnique des populations que la vallée du Niger a attirées et retenues.
La signification du groupe ethnique au Mali est apparemment claire.
On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï.
Notre travail s'appuie surtout sur des observations faites dans la vallée du Niger ou les régions voisines, milieu humain qui réunit un certain nombre de conditions assez exceptionnelles en Afrique qu'il faut souligner avant tout.
Une vie de relations déjà ancienne, organisée au fil de l'eau de la forêt au désert, entretient un réseau urbain plus actif qu'ailleurs.
Il est évident qu'il n'y aurait pas de Bambara si les membres de ce groupe ne se considéraient pas comme Bambara.
Encore reste-t-il à expliquer comment le groupe s'est formé en se différenciant des autres.
Quelles sont ses limites passées ou actuelles ?
En quoi se distingue-t-il ?
La signification du groupe ethnique au Mali est apparemment claire.
On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï.
Les conditions naturelles sont plus variées qu'en d'autres régions soudaniennes car la vallée, ses rives et son organisation hydrologique très compliquée introduisent maintes variantes dans les conditions naturelles zonales.
Les conditions naturelles sont plus variées qu'en d'autres régions soudaniennes car la vallée, ses rives et son organisation hydrologique très compliquée introduisent maintes variantes dans les conditions naturelles zonales.
On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï.
Il est évident qu'il n'y aurait pas de Bambara si les membres de ce groupe ne se considéraient pas comme Bambara.
Notre travail s'appuie surtout sur des observations faites dans la vallée du Niger ou les régions voisines, milieu humain qui réunit un certain nombre de conditions assez exceptionnelles en Afrique qu'il faut souligner avant tout.
Encore reste-t-il à expliquer comment le groupe s'est formé en se différenciant des autres.
On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï.
La signification du groupe ethnique au Mali est apparemment claire.
Il est évident qu'il n'y aurait pas de Bambara si les membres de ce groupe ne se considéraient pas comme Bambara.
Ces diverses raisons expliquent l'étonnante diversité ethnique des populations que la vallée du Niger a attirées et retenues.
On parle couramment de Bambara, de Sonraï ou de Pays bambara et de Pays sonraï.