Face à une expansion rapide, la ville est confrontée à des disparités de développement urbain, des problèmes de sécurité dans ses bidonvilles tentaculaires, et subit de plus la pire crise énergétique de son histoire, avec des coupures d'électricité sévères impactant particuliers et entreprises.
La ville est décrite comme relativement sûre, permettant des déplacements libres, bien que certains quartiers défavorisés connaissant de la délinquance et du banditisme soient à éviter.
Des attaques armées ont ciblé parfois des localités proches de Bamako, une tendance qui peut suggérer une intensification des attaques dans les années à venir, visant à accentuer la pression sur la capitale malienne.
Les habitants de Bamako font face à une criminalité variée, incluant le trafic de drogues, la prostitution, et le commerce d'armes, en plus de l'incivisme et de la délinquance mineure.
La capitale malienne serait devenue, depuis quelques années, la plaque tournante du trafic d’armes dans la région d’Afrique de l’Ouest.
En septembre 2023, la ville accueillait 3.462 déplacés internes dans les communes V et VI, dans des conditions précaires et exposant ses résidents à divers problèmes sociaux.