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Quelle est la faune et la flore du Canada ?

Julie Besson
Julie Besson
2025-06-11 21:00:27
Nombre de réponses : 16
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Faune et flore du pays vous met en lien avec les espèces canadiennes les plus étonnantes, et ce, directement dans vos maisons. Depuis 50 ans, Faune et flore du pays vous met en lien avec les espèces canadiennes les plus étonnantes, et ce, directement dans vos maisons. Le tout a débuté en 1963, avec des capsules vidéo en noir et blanc sur le Plongeon huard, l’orignal, le Fou de Bassan et le castor. Relancée en 2003, la nouvelle série rétablira le lien que des milliers de Canadiens et de Canadiennes avaient entretenu avec les espèces sauvages grâce à la série d’origine. FFDP célèbre le 75e anniversaire du Service canadien de la faune. Bienvenue sur le site Web de Faune et flore du pays.
Adrien Blanchet
Adrien Blanchet
2025-06-04 10:54:01
Nombre de réponses : 10
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Les 3,7 habitants par kilomètre carré laissent une place importante à la nature et à la vie sauvage. Les forêts canadiennes se répartissent en forêt boréale ou taïga, sur presque la moitié du pays, la forêt némorale, et la forêt pluviale côtière. On y trouve une vingtaine d’espèces d’arbres, avec une majorité de conifères – épinettes, sapins, mélèzes et pins. Les caduques sont aussi présentes, avec des peupliers et des bouleaux. Elle accueille chaque année près de la moitié des oiseaux de toute l’Amérique du Nord, soit environ 300 espèces, dont 300 millions d’oiseaux qui viennent s’y reproduire. 85 espèces de mammifères vivent aussi ici : ours, grizzli, caribou, wapiti, castor, lynx, lièvre d’Amérique, bison des bois. Les cervidés, les sangliers, les ours, les ratons laveurs sont les habitants des lieux. Les cours d’eau regorgent de poissons dont les cinq espèces sauvages de saumon du Pacifique. L’un des oiseaux emblématiques de la forêt pluviale côtière est le pygargue à tête blanche, le très célèbre aigle américain et les mammifères les plus courants sont les ours – grizzli, Kermode et ours noir –, loups et cerfs. Les arbres comme les bouleaux ou les saules poussent aussi, mais à l’horizontal au plus ras du sol. Les animaux résistants aux conditions de vie difficiles dans la toundra sont peu nombreux. Les cours d’eau douce sont peuplés d’ombles, le touladi, le brochet et le corégone. Les oiseaux reste le groupe le plus diversifié, mais seuls le grand corbeau, le harfan des neiges et le lagopède alpin passent l’hiver dans la toundra. Les mammifères sont moins diversifiés et seule une vingtaine d’espèces dont le renard roux, le loup arctique, le caribou, l’ours ou le lemming parcourent la toundra. Les prairies du centre du Canada sont caractérisées par leur herbage sec et balayé par les vents. On y croise des antilopes, des wapitis, des chiens de prairie, des serpents à sonnette et le fameux bison des plaines. Le papillon monarque, aujourd’hui en voie d’extinction était également l’un des habitants les plus remarquables des prairies canadiennes. Entre terre et océan, la rencontre entre eaux salées et eaux douces dans les estuaires forment un écosystème unique en son genre. Les plantes comme les salicornes et distilchis ainsi que de nombreux micro-organismes prospèrent, pour fournir une nourriture essentielle aux poissons, puis aux oiseaux marins et aux mammifères marins comme les belugas. Le fleuve Saint-Laurent reste quant à lui un milieu privilégié pour la migration de la baleine à bosse, et la baleine boréale peuple la mer de Beaufort, en été. L’orque épaulard est présente sur les côtes est et ouest, comme le marsouin commun, et les narvals restent toute l’année dans les eaux arctiques.
Constance Chauvet
Constance Chauvet
2025-06-04 07:13:32
Nombre de réponses : 15
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La variété de gènes, d’espèces et d’écosystèmes qui assurent la santé du monde vivant est définie comme la biodiversité. Espèces aquatiques en eaux canadiennes, y compris les espèces en péril, envahissantes, pêchées ou d'élevage font partie de cette biodiversité. La protection des plantes et des animaux, tanto domestiques qu'indigènes, contre les espèces envahissantes est cruciale. Les oiseaux migrateurs nécessitent également une attention particulière en matière de conservation, recherche, règlements, surveillance et permis. En ce qui concerne les espèces en péril, il est question de permis, financement, consultations et nouvelles sur le rétablissement de ces espèces.