Les premiers gestes sont les illustrateurs.
Ce sont ceux que vous utilisez en parlant et ils sont formidables pour trois raisons.
La première c’est qu’ils aident les gens à mieux intégrer ce que vous dites.
La raison suivante c’est qu’ils vous aident à canaliser le stress.
Et la troisième raison c’est qu’ils vous aident à vous souvenir de votre discours.
Le deuxième type de gestes – qui ont une tonalité culturelle – sont les emblèmes.
Ce sont les gestes qu’on utilise quand on n’a pas la parole, qui se passent de mots, des gestes qui parlent d’eux-mêmes.
Par exemple, Rose tu es Américaine.
Aux États-Unis vous avez des gestes spécifiques qui fonctionnent bien, comme le pouce levé ou bonjour - au revoir.
Maintenant, j’aimerais parler du visage et de ce qu’on appelle les manifestations d’affect.
En fait, le visage est très expressif et c’est extrêmement utile, par exemple avec le storytelling : si on veut raconter un évènement passé.
Le visage est très important.
Il en reste un dont je n’ai pas parlé, il s’agit des régulateurs.
Ce sont les gestes qu’on utilise pour indiquer à l’auditoire ce qu’il faut faire.
On les appelle les régulateurs, il s’agit simplement de : asseyez-vous, debout, s’il vous plaît passez dans la salle à côté.
Donc ces gestes sont utiles pour les interactions et pour donner des instructions à l’auditoire.