Certains noms de famille peuls courants du Wassoulou sont Diallo, Diakite, Sidibe et Sangare.
Les Peulhs, qui auraient émigré des hauts plateaux du Fouta Djallon à l'ouest, se sont intégrés aux peuples autochtones Mandé et ont adopté leur langue et leurs coutumes quelque temps avant le XVIIIe siècle, à peu près au même moment où l'Islam s'est répandu dans la région.
En raison du brassage de plusieurs générations, de nombreux Peuls de la région du Wassoulou ne parlent plus leur langue maternelle, mais ont conservé leur identité et leurs pratiques culturelles.
Pendant quelques années et jusqu'en 1778, le Wassoulouké Kondé-Bréma Dyakité lance une croisade anti-musulmane.
Au milieu du XIXe siècle, le Wassoulou subi les attaques d'Alpha Mamoudou de Kankan.
Les Wassoulounké réagissent rapidement en se plaçant sous la direction d'un jeune chef : Dyèri Sidibé d'Ouloundou.
Un rêve lui donne le moyen de trouver des guerriers invincibles.
Dans l'anarchie et les guerres civiles qui suivent, émergent deux chefs : Kodyé-Sory et Adyigbè.
Ce dernier résistant à une nouvelle attaque d'Alpha Mamoudou sur le Wassoulou.