Les événements politiques, économiques, et sociaux marquants au Mali du 28 janvier au 17 septembre 2024 sont notamment l'attaque terroriste à Bamako le 17 septembre 2024.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), un groupe djihadiste lié à Al-Qaida, revendique une attaque visant l’aéroport militaire et l’école de gendarmerie de Bamako, la capitale du Mali.
Le 4 août 2024, le Mali rompt avec « effet immédiat » ses relations diplomatiques avec l’Ukraine.
Le gouvernement malien accuse l'Ukraine d’avoir soutenu des groupes « terroristes » qui ont fait subir une lourde défaite à l’armée malienne et à des forces de l’ex-milice russe Wagner fin juillet dans le nord du Mali.
Le 6 juillet 2024, les régimes militaires du Burkina Faso, du Mali et du Niger adoptent un traité instituant la Confédération des États du Sahel qui constitue « une étape supplémentaire vers une intégration plus poussée » entre les trois pays.
Les chefs d’état-major du Burkina Faso, du Mali et du Niger annoncent la mise en place d’une force conjointe, qui « sera opérationnelle dans les plus brefs délais » afin de « prendre en compte les défis sécuritaires » dans ces trois pays.
Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, suspendus de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) depuis les putschs survenus dans ces pays, respectivement en 2020, 2022 et 2023, annoncent leur retrait de l’organisation régionale.