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Comment se fait l'élevage traditionnel ?
Théodore Traore
2025-07-17 08:14:34
Nombre de réponses
: 10
La taille du cheptel français est repartie en un grand nombre d’unités d’élevage: 200 000 petites et moyennes exploitations dont 120 000 sont spécialisées dans les races à viande et fonctionnent selon des méthodes traditionnelles avec un nombre moyen de 50 à 60 vaches-mères.
De type extensif, la production bovine française se réalise dans un environnement de qualité.
L’élevage bovin intervient ainsi comme un rempart face à la détérioration de l’environnement, à la désertification des campagnes et à tout ce qui pourrait menacer la beauté des paysages européens.
L’élevage extensif permet ainsi de maintenir l’équilibre biologique actuellement très menacé dans de nombreuses régions européennes.
Ainsi l’ensemble de la filière française s’engage à un élevage traditionnel et plutôt extensif, un des éléments de la qualité de la viande bovine Bovillage.
Un élevage traditionnel et une production garantie grâce au savoir-faire pour une viande bovine de qualité.
Françoise Perez
2025-07-08 20:02:35
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: 13
Les bêtes sont en bergerie l’hiver et l’été en montagne sur des milliers d’hectares.
Elles mangent le foin local.
Même en cas de sécheresse, nous n’avons droit qu’à 30% de foin de l’extérieur, mais c’est rare.
Nous faisons en sorte d’être autosuffisants.
Pas de produit chimique, seuls le fumier et l’azote contenu dans la neige servent d’engrais.
Fauche et pacage transforment le sol en paillasson, un bon ancrage anti avalanches.
Les troupeaux font en moyenne 200 bêtes.
Dès la belle saison, elles montent en estives et redescendent à l’automne.
La transhumance, faite à pied, est désormais inscrite au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.
Pendant que les foins se font en bas les brebis crapahutent en liberté en altitude.
Chaque troupeau a son propre secteur.
Les brebis ont leurs habitudes, suivent celle de tête, en général la plus ancienne avec le plus d’expérience, expérience transmise de génération en génération.
Un petit abattoir sur place permet de réduire le circuit, le label AOP exigeant que les bêtes ne sortent pas du secteur de la naissance à l’abattage.
Pour éviter le maximum de stress, elles sont conduites en petit nombre le jour même et abattues sans souffrance.
Nous travaillons sur un circuit très court.
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Patricia Boucher
2025-06-27 22:00:16
Nombre de réponses
: 13
L'élevage porcin traditionnel, familial ou paysan est généralement de type extensif et se caractérise par une minimisation des intrants et des investissements.
L'élevage villageois constitue seulement une partie de l'élevage traditionnel.
L'alimentation
L'utilisation des ressources locales
L'équilibre de l'alimentation
L'hygiène et la santé animale sur tout animal entrant dans l'exploitation.
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L'élevage porcin traditionnel, familial ou paysan est généralement de type extensif et se caractérise par une minimisation des intrants et des investissements.
L'élevage villageois constitue seulement une partie de l'élevage traditionnel.
L'alimentation
L'utilisation des ressources locales
L'équilibre de l'alimentation
L'hygiène et la santé animale sur tout animal entrant dans l'exploitation ; sur les porcelets avant le sevrage ; sur les porcs à l'engrais à l'âge de quatre mois ; sur les verrats deux fois par an ; sur les truies, quinze jours avant la saillie, quinze jours avant la mise bas et avant le sevrage des porcelets.
bien cuire les déchets de cuisine et de restaurants ; éviter que les porcs entrent en contact avec des animaux extérieurs : ne pas les laisser divaguer, limiter les mouvements d'animaux ; déparasiter et traiter régulièrement contre les tiques ; éviter de se déplacer de porcherie en porcherie pour limiter les risques de contamination.
Maurice Vasseur
2025-06-27 18:47:12
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: 15
Dans l’élevage traditionnel, les vaches étaient de race locale, alors que pour le moment, les vaches sont de race moderne. Or, les vaches locales sont de petite taille. Alors que les vaches de race pure sont de grande taille et produisent plus que les vaches de race traditonnelle. L’élevage traditionnel est basé sur la quantité et non sur la qualité. Les vaches de race locale, en circulant sur des collines détruisent les champs et causent de grandes querelles entre agriculteurs et éleveurs. Les éleveurs traditionnels accompagnent leurs vaches, jour par jour, ce qui les rend incapables de participer à d’autres activités de développement. Cinq vaches qui produisent chacune 1 litre de lait soit 5 litres de lait par jour. En comparaison avec une seule vache de race productive qui donne elle seule plus de 12 litres de lait par jour, et dont le berger lui apporte à manger étant à la maison, suivant en même temps l’éducation de ses enfants, et que l’élevage traditionnel ne permet pas l’amélioration du rendement agricole. N’oublions point qu’un long séjour dans la brousse finit par rendre les bergers sauvages, impolis, arrogants et maraudeurs. Pour l’élevage moderne, les éleveurs n’ont pas d’occasion de délinquance, ils sont occupés par d’autres travaux. Terminons par comprendre que l’élevage traditionnel est basé sur la quantité et non sur la qualité.
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