Le K2 est définitivement plus dur à atteindre que celui de l’Everest.
Première femme à avoir atteint le point le plus haut et le plus bas de la Terre, Vanessa O’Brien a tous les arguments pour affirmer que le K2 est plus dur à gravir que l’Everest.
Tout d’abord, les sommets se situent dans deux pays différents.
Il y a différentes voies pour accéder aux sommets.
De plus, quand vous escaladez le K2, vous emportez tout le matériel de l’expédition avec vous et vous montez vos tentes sur le chemin.
Le K2 a la forme d’un triangle, c’est raide, et ça suppose que vous vous donniez à 110% dès le premier jour.
La météo est bien plus imprévisible sur le K2 que sur l’Everest, et je dirais que le gravir est techniquement plus difficile.
Le parcours du K2 est un mélange de rocher, de glace et d’escalade alpine.
Si je regarde les statistiques, il y a 40% de chances de ne pas arriver au sommet, c’est donc une montagne vraiment rude.
Le K2 compte moins de 400 ascensions réussies jusqu’au sommet – comparées aux 7500 enregistrées sur l’Everest – ce qui montre à quel point le K2 est plus difficile à chaque nouvelle saison.