La danse des masques, que nous avons vue, a impliqué tout le village dans son organisation.
La danse était composée de trois parties : la première, collective, a été présentée par plusieurs hommes, la deuxième et la troisième ont été effectuées avec des masques sacrés : un masque de femme, et un masque d’homme.
Tout cela au rythme des tambours, mystérieux et inconcevable.
Les danses sacrées, dites rituelles, ne sont jamais montrées aux non-initiés dans leur intégralité – et ce, quels que soient les spectateurs : Européens ou Africains.
Seule leur partie « théâtrale » peut être présentée au public.
Dans l’ouest du pays, la danse des échassiers est pratiquée par le peuple Yacouba.
De nombreuses tribus Ivoiriennes seront ravies de réaliser une danse rituelle pour leurs visiteurs, néanmoins vous devez à l’avance demander l’accord du chef du village et négocier son prix.
Votre argent sera consacré aux besoins de la communauté locale, et les besoins sont nombreux.
Le tourisme joue un rôle important ici – non seulement il contribue au budget du village, mais il participe également au maintien des traditions tribales.