Tidjani Ndiaye : danser pour exister
Tidiani N’diaye, après des études au lycée ici à Bamako, il a intégré une école de danse de Montpellier d’où il est sorti avec un master. Ce jeune de près de 30 ans, célibataire sans enfant, n’a d’yeux que pour sa profession, la danse.
Présent à Bamako pour le lancement de son festival BAM, un espace d’expression pour les jeunes danseurs et autres artistes du Mali, nous avons échangé avec Tidjani à l’espace culturel Passerelle, le site qui accueille son événement.
Engagé depuis son départ pour la France, pour la promotion de la danse au Mali, Tidjani a ouvert en 2010 la compagnie copier-coller, un centre de ressources multimédia qui soutient les danseurs de Bamako.
Festi’BAM n’est pas le premier projet du jeune homme. Bien avant, il a réalisé ici en 2010, le film « Moi, ma chambre, ma rue », qui parle du désordre qui inonde notre vie de tous les jeunes. Il réalise par la suite, « le Naturel mystique ». Le voilà encore avec cet audacieux projet, qui met en lumière les créations de jeunes talents en herbe.
A ce jour, Tidjani collabore avec de nombreuses maisons de productions cinématographiques à travers le monde. Il ne veut pas s’en arrêter à Festi’BAM, il a en tête beaucoup d’autres projets. « Seul le travail paye. Ce n’est pas parce qu’on est en Europe qu’on est meilleur. Il y a beaucoup de talents ici chez nous, qu’il faut soutenir ». Nous a-t-il confié.
Ibrahim Kalil Togola
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