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Quel est le plat national de la Côte d'Ivoire ?

David Bertin
David Bertin
2025-10-12 02:17:31
Nombre de réponses : 11
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Le plat national de la Côte d'Ivoire n'est pas explicitement désigné dans le texte, mais on peut citer quelques plats populaires tels que le garba, le foutou banane, le kédjénou de poulet, le placali de manioc. Le garba est un plat populaire ivoirien très bourratif fait à base de semoule de manioc, communément appelée attiéké, accompagnée de thon salé frit. Le foutou banane accompagné de la sauce Assiaploua est un plat des Agnis de l'indenie djuablin. Le kédjénou de poulet cuit à l’étouffé avec des légumes et le placali de manioc à la sauce gombo sont également des plats régionaux bien connus. Ces mets fort appréciés se retrouvent aussi bien sur les cartes de grande table mais également au menu des maquis. La cuisine ivoirienne est riche et la culture gastronomique forte est constamment célébrée par les festivals. Le foutou de banane ou d'igname à la sauce graine et le poulet et le poisson braisé à l’Ivoirienne accompagné de l’Atiéké sont également des plats populaires. Le street food n’est pas en reste avec l’alloco, le garba, les beignets aller-retour, le choukouya de mouton et de bœuf braisé.
Agnès Colin
Agnès Colin
2025-10-11 21:58:19
Nombre de réponses : 14
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Le plat national de la Côte d’Ivoire est le foutouPropertyName accompagné par exemple de la sauce graine, de la sauce graine d'arachide, du gombo.. Il existe une autre variante plus rare : le foutou de banane plantain.

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Alice Chevalier
Alice Chevalier
2025-10-11 21:15:11
Nombre de réponses : 11
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L’attieké ou atchêkê est, depuis des décennies, le plat phare des Ivoiriens. Il est consommé avec du poisson et du poulets frits, mais aussi accompagné de sauces. Cela avait été perçu comme une humiliation par l’opinion ivoirienne, qui s’était estimée spoliée de la paternité de son plat national. Il s’agit donc, toujours selon Paul Assandé, de « l’aboutissement d’un processus visant à renforcer la reconnaissance de l’origine du produit, de son image sur le marché et donc, de sa valeur commerciale. » Le ministère de l’Agriculture d’alors avait vite réagi en affirmant qu’il ne s’agissait pas d’une labellisation. Il avait annoncé dans la foulée que des actions avaient été entreprises pour que la Côte d’Ivoire soit officiellement reconnue comme le pays de l’attieké.