Combien de femmes un homme africain peut-il avoir ?

La polygamie est un régime matrimonial dans lequel l’homme a la possibilité d’épouse jusqu’à quatre épouses selon les prescriptions de l’islam et en droit civil. Dans la religion musulmane il est fortement recommandé d’épouser plus d’une femme. En choisissant la polygamie on participe à la fondation de la religion. Les hommes qui jouent francs jeux dans leur foyer ont moyen de problème, le mari ne doit pas acheter quelque chose pour l’une ou l’autre des épouses. Les femmes s’habillent de la même manière tout comme les enfants. Il est rare d’y rencontrer une paix durable, cette donne est universelle. La polygamie est légale à tout point de vue mais elle engendre la fracture de la famille, elle nécessite l’équité et l’égalité entre épouses et enfants, les hommes qui en sont dépourvues doivent rester monogames. Soulèye pense que la polygamie est une bonne chose pour tout le monde, si vous avez un seule épouse c’est comme si vous êtes célibataire, après sa grossesse vous ne pouvez pas vous rapprocher de la femme pendant 40 jours. Pour lui le meilleur régime matrimonial reste la polygamie.

Les députés kényans ont voté une loi permettant aux hommes d'épouser autant de femmes qu'ils le souhaitent, même sans l'accord de leur première épouse. La proposition de loi, adoptée tard jeudi 20 mars, formalise en droit kényan des lois coutumières. Quand vous épousez une femme africaine, elle doit savoir que la deuxième va suivre, puis la troisième (...). Toute femme que vous ramenez à la maison est votre femme. Comme dans beaucoup de pays africains, la polygamie est une pratique commune au Kénya.

La polygynie, c’est-à-dire l’union d’un homme avec plusieurs femmes. La polygamie est un terme générique pour désigner deux pratiques distinctes : la polygynie, d’une part, c’est-à-dire l’union d’un homme avec plusieurs femmes, et la polyandrie, d’autre part, à savoir l’union d’une femme avec plusieurs hommes. Dans ce dernier pays, les polygames représentent 23,1% du nombre d’hommes mariés. En Guinée, au Mali ou au Sénégal, les futurs époux doivent se prononcer sur le modèle de mariage auquel ils souscrivent : monogame, polygamique classique (jusqu’à quatre épouses) et polygamique limité à deux ou trois épouses. L’article 135 du Code de la famille congolais stipule que seul l’homme peut avoir plusieurs conjoints (jusqu’à quatre), édictant de fait une inégalité de genre.

Pour réussir dans la polygamie, il faut avoir plus de deux femmes – c’est la leçon que nous enseignent Akuku et Zuma. Quand il n’y a que deux femmes, elles peuvent facilement se liguer contre le polygame et lui régler son compte ; le sage prendra donc au moins trois épouses. Plus un homme a d’épouses, plus il crée de points de désunion, et tout complot contre lui devient ainsi pratiquement impossible. Akuku était sans conteste le champion du Kenya, que dis-je, de l’Afrique de l’Est, de la polygamie. Il avait épousé plus de cent femmes et divorcé trente fois. Quant aux enfants, il en avait des centaines. A côté de lui, le président de l’Afrique du Sud, Jacob Zuma, a vraiment l’air d’un amateur. Il faut vraiment s’intéresser aux rapports entre polygamie et pouvoir, car les compétences nécessaires à la réussite de la première sont néfastes pour les pays. Premièrement, pour réussir dans la polygamie, il faut avoir plus de deux femmes – c’est la leçon que nous enseignent Akuku et Zuma.

La polygamie au Bénin est un régime matrimonial où un homme est lié, au même moment, à plusieurs conjointes. La polygamie est considérée comme un signe d'aisance, et de puissance car elle est censée reflète la capacité de l'homme polygame à nourrir et à vêtir ses femmes et nombreux enfants qui habitent sous le même toit. Depuis 2004, la nouvelle version du Code des personnes et de la famille interdit un tel régime matrimonial conformément à la Lois L2002-07- Loi no 2002-07 portant code des personnes et de la famille. Les raisons poussant certains hommes à avoir plusieurs femmes sont nombreuses. Elles varient selon les cultures et dépendent principalement de contraintes sociales. Dans certaines régions du Bénin — particulièrement en milieu rural — la nécessité d’avoir de nombreux enfants afin de répondre au besoin de main d’œuvre est la raison principale invoquée. Plus spécifiquement, au sein de certains couples, l’infertilité (ou plus simplement l’incapacité à un certain moment) peut amener un homme à prendre une seconde épouse afin de répondre à cette recherche d’une progéniture ou celle d'un héritier garçon. D’autres causes peuvent être avancées, comme le manque d'attention des femmes après le mariage, les problèmes conjugaux, et surtout l’influence de la famille ou des amis. Pratique ancestrale, acceptée par l'Islam, la polygamie reste un sujet compliqué à expliquer, car pour certains, elle consolide les liens de la famille mais pour d'autres, elle provoque la discorde et la pauvreté. La polygamie est surtout favorisée par les contraintes sociales. Plusieurs raisons peuvent pousser les hommes à opter pour la polygamie. Parmi ces raisons, nous avons la contrainte sociale. Le mode de vie en milieu rural dépend principalement du travail de la terre et la dureté du labeur quotidien semble être la raison qui pousse à agrandir sa propre famille. Cependant, cette pratique s'observe aussi dans certaines agglomérations. Il n'y a pas de limite au nombre de femmes, mais l'homme doit vérifier s'il est capable d'entretenir toutes ses épouses avant de pouvoir se marier avec d'autres femmes.

Un tribunal islamique chargé de l’application de la charia l’avait interpellé pour « union illégale avec 86 épouses » et « mépris ostentatoire des lois religieuses » qui prescrivent un maximum de quatre conjointes. Le saxophoniste anticonformiste est fameux, aussi, pour avoir épousé, lors d’une cérémonie vaudou, les vingt-sept membres féminins de son groupe, en même temps qu’il ré-épousait sa première femme. Sobhuza II, monarque de 1968 à 1982, aurait convolé à 70 reprises et aurait eu 210 enfants. L’histoire indique qu’il se serait marié à 131 reprises et qu’il aurait eu près de 300 descendants. Toujours est-il que l’idole du web africain, cette semaine, est un « Casanova » nigérian qui, s’il n’a pas conquis 1003 femmes comme le Don Juan de Mozart, a passé la bague à 86 doigts féminins. Samedi dernier décédait en effet Muhammadu Bello Masaba à l’âge de 93 ans. Sa progéniture s’élèverait à 170 rejetons. Le polygame prolifique avait été finalement libéré. Le Nigérian Muhammadu Bello Masaba n’a pas eu, pour autant, la tâche facile. Têtu, Masaba avait refusé de divorcer de 82 épouses. Le dernier cou auquel il aurait mis une corde était celui de la jeune Joséphine, épousée en 1997 alors qu’elle avait 63 ans de moins que lui. Le champion toute catégorie serait le Kényan Acentus Akuku, décédé en 2010 à l’âge de 94 ans.