La chasse confèrent une valeur positive aux milieux naturels et donc aux territoires : 3,9 milliards d’euros à l’économie et 2,9 milliards d’euros de services écosystémiques.
Les chasseurs de France se révèlent : Acteurs de la préservation de la biodiversité à travers l’aménagements et l’entretien des milieux, et la gestion des espèces,
Acteurs de la vie sociale, par leur rôle dans l’animation des territoires ruraux, vecteur de cohésion sociale et de partage,
Acteurs culturels - les fédérations de chasseurs sont toutes agréées au titre de la protection de l’environnement - impliqués dans la sensibilisation et la transmission des connaissances via des actions et des outils d’éducation à la nature, tel Ekolien, le remarquable site internet créé par la fédération nationale des chasseurs, à disposition du monde scolaire et du grand public.
Aménagement du territoire, restauration de la biodiversité, entretiens paysagers, animations dans les villages, participations aux fêtes traditionnelles, éducation à la nature…
Cela induirait :
L’abandon de la veille sanitaire,
L’augmentation des zoonoses,
L’explosion des dégâts agricoles et forestiers,
L’augmentation des collisions routières,
La fermeture des milieux,
Le développement des épidémies,
La disparition des zones humides,
La déstabilisation du tissu sociologique et économique rural,
etc.
460 millions d’euros par an seraient à payer par les français au titre de la biodiversité.
L’investissement pour l’éducation à la nature et l’animation des territoires ruraux serait imputé de 2.4 millions d’euros par an.