La chasse est bien plus qu’un simple loisir, c’est un mode de vie, une vraie passion qui se pratique plusieurs fois par mois et même par semaine.
Ce que les chasseurs recherchent avant tout dans cette passion, c’est :
Sortir de la routine et passer du temps dans la nature
Toujours apprendre de nouvelles choses avec la chasse
Intégrer un groupe et chasser ensemble.
La chasse : une passion avant tout!
Pour 1.1 million de personnes en France, la chasse est leur passion, leur moyen de sortir de la routine du travail et de penser à autre chose le temps d’une journée, d’un week-end.
Les chasseurs sont présents sur leur territoire tout au long de l’année, tout simplement pour aller se balader dans la nature, suivre les populations de gibiers présentes, regarder comment se portent les naissances, faire de la surveillance, admirer le monde sauvage et bien d’autres intérêts!
Les chasseurs aiment passer un maximum de temps dans la nature.
Cette passion permet de déconnecter du quotidien, de sortir de la routine du travail, de fermer les écrans et de redécouvrir ce que la nature renferme.
La chasse commence au moment où l’on s’imagine sur le territoire de chasse, revoir les amis, parler chasse, réfléchir à la quête de l’animal et réussir à ne faire qu’un avec l’environnement pour réussir sa chasse.
La chasse : un lieu de rencontre et de prise de connaissance.
La chasse, c’est aussi un incroyable lieu de mixité sociale et de rencontre.
Les chasseurs sont également les premiers acteurs de la biodiversité.
Grâce à la chasse, ils sont capables d’avertir de l’arrivée d’une maladie, avertir sur la surpopulation d’une espèce ou bien même sur le déclin d’une.
Les chasseurs connaissent également les périodes de reproduction, de migration, de nidification des espèces et arrivent à estimer les populations de gibiers après naissance.
Si les chasseurs ne faisaient rien, ce sont plusieurs millions de cultures qui seraient ravagées, ce qui se répercuterait sur le consommateur final avec une augmentation des prix de la nourriture et pouvant même aller jusqu’à l’incapacité de produire des éléments de première nécessité alimentaire.