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Qui paie la dot en islam ?
Marguerite Poulain
2025-05-16 10:46:59
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: 11
La base est que ceci est laissé à la femme et son tuteur se charge de cela pour elle.
Et la dot est un droit appartenant à la femme, et non au père, il est obligatoire qu'il le donne à la fille mariée.
Il n'est pas permis qu'il la prenne à sa place, comme rétribution pour ce qu'il a dépensé pour elle.
Non, la dot est pour le mariage, il ne vend pas sa fille pour prendre en contrepartie dans la dot ce qu'il a dépensé dans ces études, pour ceci, pour cela, etc.
La dot est pour le mariage et elle est donnée à la femme.
Marcelle Maillard
2025-05-06 21:10:59
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: 13
Le mahr est le don, selon les prescriptions de l’islam, que l’époux doit faire à l’épouse.
Le mahr permet à la femme de survivre seule pendant quelques mois en cas de malheur.
Il doit également être en rapport avec le statut social de l’épouse.
Le Coran mentionne le mahr, par exemple le verset 4 de la sourate 4 dit : Et donnez aux épouses leur mahr, de bonne grâce.
Si de bon gré elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon cœur.
Le mahr est comparable au douaire.
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Michelle Boutin
2025-05-04 11:00:57
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La dot est un droit de l’épouse et il n’est pas permis ni à son père ni à un autre de s’en emparer, sauf avec son consentement.
Et donnez aux épouses leur nihla, de bonne grâce.
Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez- en alors à votre aise et de bon cœur.
L’homme doit obligatoirement verser la dot avec gaieté de coeur.
D’après Abou Salih, quand un homme avait marié sa fille, il s’emparait de la dot.
Ce qu’Allah leur a interdit en révélant : Et donnez aux épouses leur nihla, de bonne grâce.
Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez- en alors à votre aise et de bon cœur.
La dot compense la jouissance sexuelle.
Si le mari veut se séparer de sa femme et la remplacer par une autre, il ne doit pas récupérer la dot déjà versée à la première.
Si l’épouse renonce à une partie de la dot au profit du mari, il lui est permis de le prendre conformément aux propos du Très Haut.
Céline Roy
2025-04-20 22:18:28
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L’obligation de la dot en islam.
Le premier point essentiel est que la dot est obligatoire.
Il s’agit d’un droit de la femme, concernant le contrat de mariage en Islam.
L’essentiel est que l’homme verse la dot à la femme, du montant prévu, sans rien en diminuer ou sans retarder son échéance.
Il reste autorisé à la femme de donner une partie de sa dot à son mari, ou d’en dépenser une partie pour lui, si elle en a envie puisque cela lui appartient.
Une chose importante à rappeler est qu’il n’est pas permis aux parents de demander de l’argent pour eux-mêmes.
En effet, la dot est bien le droit de l’épouse, non celui de sa famille.
Il ne tient qu’à elle de leur en faire don si elle le souhaite, encore faut-il que cela relève de son choix.
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Isabelle Bouchet
2025-04-20 21:20:02
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: 12
La dot est payable dès la consommation du mariage.
Le mari est tenu de la verser à son épouse à moins qu’elle l’en exempte expressément, par son bon vouloir et sans aucune pression, ou qu’elle la lui restitue.
L’épouse est la seule à pouvoir exempter son mari du versement de la dot, sauf si le mariage n’est pas consommé, auquel cas le tuteur peut décider de l’exemption au nom de l’épouse.
L’argent versé par l’époux à son épouse lors de la consommation du mariage est d’habitude désigné par le mot mahr.
Cette dot revient entièrement à l’épouse et le père de celle-ci n’y a nullement droit.
La femme est la propriétaire de la dot et c’est à elle qu’elle doit être versée.
Cependant, si le prétendant verse l’argent au père de sa future épouse, il n’y a pas de mal à cela et, dans ce cas, j’engage le père de la mariée à donner la dot à sa fille par la suite, étant donné que c’est à celle-ci que la dot revient.
Théophile Rolland
2025-04-20 20:40:52
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La dote en Islam, également connue sous le nom de “mahr”, est un cadeau ou une contribution financière que le mari offre à son épouse au moment du mariage.
Il s’agit d’une pratique traditionnelle visant à renforcer l’engagement et la responsabilité du mari envers son épouse.
La dote en Islam remplit plusieurs rôles importants, tout d’abord, elle symbolise l’intention sincère du mari d’assumer sa responsabilité envers son épouse et de la soutenir financièrement.
En offrant une dote, le mari démontre son engagement envers le mariage et sa volonté de protéger les droits et la dignité de son épouse.
Qui demande la dote en Islam ?
La famille de la future mariée ou la mariée elle-même demande généralement la dot en Islam.
Cependant, il faut souligner que la dot ne doit pas servir de source de pression ou de contrainte.
L’objectif principal de la dote est d’assurer la sécurité et le bien-être de l’épouse.
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Guy Pascal
2025-04-20 19:28:04
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: 15
La dot est payée par le mari.
Le montant de la dot est déterminé par le Walyi de la femme ou par la femme elle-même.
En cas de divergence, les mâlikites estiment que si la femme est vierge, c’est la décision de son tuteur qui prime, à condition qu’il détermine un montant équivalent à la dot d’une femme de même rang.
Si la femme a déjà été mariée, c’est absolument sa décision.
Ibn al-Qâsim interrogea : « Et si elle refuse, alors que son tuteur accepte ».
L’imam Mâlik lui répondit : « La décision sera celle de son tuteur, si la dot qu’il détermine est équivalente à celle d’une femme de son rang ».
Ibn al-Qâsim reprit : « Même si elle a déjà été mariée ? ».
« Dans ce cas, la décision lui appartient, et peu importe l’avis de son tuteur », trancha l’imam Mâlik.
Élisabeth Bodin
2025-04-20 18:53:40
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: 16
La dot est un droit de la femme en vertu du mariage.
Si la dot a été fixée, on prend en compte ce qui a été fixé, que ce soit peu ou beaucoup.
Si elle n'a pas été fixée et que le contrat de mariage a été conclu sans que l'époux n'ait donné quoi que ce soit, alors il doit donner l'équivalent de ce que les gens ont l'habitude d'offrir en dot dans pareil cas.
La dot est la propriété de la mariée, et son tuteur n'a pas le droit d'en prendre quoi que ce soit, sauf si elle le lui autorise, de son plein gré.
Son père, seulement, peut en prendre une partie si elle n'en a pas besoin, et sans que cela ne lui porte préjudice, même sans son autorisation.
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